Discrètement installé près de Troyes, cet ex-officier rwandais formé durant trois ans par les forces spéciales françaises fut le premier, en compagnie de trois militaires français, sur le site où s’était écrasé l’avion du président rwandais, visé par un attentat le 6 avril 1994. En plein génocide, son unité participera à une opération trouble, encadrée par un célèbre barbouze français.






